Description du livre
Marc Chesneau, poète et conférencier, est né à Rouen le 15 juin 1899, décédé à Stockholm le 8 décembre 1980, chevalier de la Légion d’honneur, chevalier des Arts et des Lettres, chevalier du Mérite national français, officier des Palmes académiques, chevalier de l’Ordre royal de Vasa, chevalier de l’Ordre de Léopold, membre de l’Académie nationale des sciences, membre de l’Académie de Rouen, membre de l’Académie berrichonne, membre de l’Académie des poètes classiques, membre de l’Académie internationale Tibérina, membre de la Haute académie internationale de Lutèce. Œuvres couronnées à quatre reprises par l’Académie française. Grand Prix de la Société des gens de lettres de France - Grand Prix international de poésie de la Société des poètes et artistes de France - Grand Prix de l’Académie de Montmatre - Prix Marie Noël - Prix de l’Académie des Treize - Médaille d’or d’Art, Science, Lettres. Vice-président honoraire de la Société des poètes français - vice-président de l’Académie de Montmatre - président honoraire de l’Union des Français de Suède - président honoraire de l’Association des professeurs français résidant en Suède. Marc Chesneau a fondé, en 1949, à Stockholm, les Amis suédois de la culture française et co-fondé, en 1953, à Paris, les Artisans de l’esprit, groupement de conférenciers professionnels au service de la culture française. Il a fait en outre, chaque année, des tournées de conférences en France, dans les pays nordiques et autres. Son œuvre la plus importante est le Journal poétique d’une âme, “le drame et la féerie d’une vie”, commencé en 1948 et achevé en 1980, et dont un choix des derniers poèmes est publié dans ce présent volume posthume. Le "Journal poétique d’une âme" consiste en trente volumes inédits, dont les manuscrits se trouvent à la Bibliothèque de Rouen et un choix à la Bibliothèque nationale. La maxime de son existence s’exprime dans ce quatrain : “Traduisant chaque instant en vers, donnant aux jours leur mélodie, j’ai mis en musique ma vie, en poèmes mon univers...”